CITATION DU JOUR

"La maladie se supporte mieux quand on est supportée"
Line

mardi 18 août 2009

La vie de château

On a eu d'la visite la semaine dernière, Jude pis son chum, Mr.M. Nous avons passé quelques jours à la maison, moi lessivant et repassant (!!!), Mr.X. bricolant et eux visitant. Pis finalement, on a décidé de prendre nos vacances au sérieux et de profiter de la campagne Percheronne. La première fois où je suis allée dans le Perche, invitée par une copine du bureau, c'était en juin 2008. Il y a à peine plus d'un an. J'avais fait une super balade à cheval, avec galop et 2 sauts, et un cancer qui s'annonçait. J'ai l'impression que c'était hier, j'ai l'impression que c'était il y a une éternité.

Mais, cessons ces facéties. Jude, nos Mr. et moi sommes donc partis mercredi en fin de matinée. Sur la route, nous traversâmes Anet et pûmes apercevoir son pendule surmonté du cerf et ses chiens.



Puis, le gargouillement de nos estomacs et le GPS nasal de Mr.X. nous firent nous arrêter à "La Gourmandise", charmant petit restaurant de la non moins charmante commune de "La Loupe".


C'est la panse bien garnie que nous quittâmes ce joli village. Après avoir traversé maints bourgs et hameaux, nous arrivâmes en vue de verdoyants vaux et collines, d'où tout là-haut, nous attendaient Villeray, son moulin, sa piscine et sa baignoire à jet. La cerise sur le sundae … pour arriver au château, il fallait traverser les écuries !


Le lendemain, après au moins une heure de trempage dans la baignoire à jet, j'ai rejoint le reste de la gang pis on est allé faire un p'tit tour dans les environs. Le Perche n'est pas vraiment une région. C'était à l'origine une vieille province française avec ses propres lois et coutumes. La région aujourd'hui s'étend sur quatre départements. Il y a eu pas mal de guéguerres administratives dans le temps et maintenant, il y a un super beau parc naturel avec plein d'arbres et de chevaux. Les noms des villages sont assez drôles en France, et ne sont pas saturés par les saints. Ce qui est curieux aussi, c'est le nombre d'habitants ; quand j'entre dans un village, genre Nocé, 768 habitants, j'ai un peu l'impression d'être Lucky Luke. Par ailleurs, en parcourant la carte on s'est rendu compte que les noms de beaucoup de villages du coin correspondaient à des noms de rue de la ville de Boucherville au Québec, où Jude et son Mr.M. habitent depuis environ six mois. Ainsi les noms des rues De Mortagne, De Randonnai, De Nogent, De Tourouvre, De Bellême, De Réveillon correspondent à certains villages de la région. Coincidence ? I think not !!!

Je vous sens curieux. Et hop, unp'tit peu d'histoire, le reste pouvant être lu sur Wikipédia.

Contrairement aux autres régions de France où l'émigration était souvent la seule solution aux guerres et aux famines, il paraîtrait que les émigrants du Perche ne s'embarquaient pas pour ces raisons là, ben non voyons!, mais plutôt par "esprit d'aventure". Le "mouvement", aurait été lancé vers 1634 grâce au pouvoir de "persuasion" d'un certain Robert Giffard, pharmacien à Tourouvre et gourou de l'époque j'imagine. Encore un pharmacien. Par ailleurs, il paraîtrait qu'en plusse c'était un chum d'école de Louis Hébert, bien connu des écoliers québécois comme étant le premier vrai colon et le premier pharmacien en Nouvelle-France. Coincidence ? I think not !!!

Entouka, grâce à son activisme, Giffard à réussi à rameuter, sur environ 30 ans, 80 familles, comprenant environ 150 adultes, exerçants différents métiers liés à la construction. Ils sont partis pour un long voyage, la majorité choisissant de s'établir sur les rives du St-Laurent, près de Québec, pour y défricher et prospérer les nouvelles terres. Il semblerait que l'apport du Perche au peuplement du Canada serait d'environ 5%, leur descendance est aujourd'hui estimée à 1.500.000 personnes au Canada, beaucoup plus sans doute si on tient compte d'un important essaimage dans toute l'Amérique du Nord. Mais il faut que je vous dise (enfin, c'est pas moi, c'est Mme Françoise Montagne, historienne), "qu'il faut souligner que l'émigration percheronne se caractérise par une remarquable prolificité" … Les familles avec plus de 10 enfants étaient communes. L'esprit d'aventure hein ! À la mort de Robert Giffard, en 1668, la colonie atteint 3 000 habitants. Pour votre plaisir, voici les noms de quelques uns des émigrants partis du Perche au 17 e t 18ième siècle : Aubin, Bélanger, Bisson, Bouchard, , Cloutier, Côté, Drouin, Fortin, Fournier, Gagnon, Giroux, Gosselin, Jarry, Lambert, Landry, Langlois, Laporte, Leduc, Lefebvre, Lehoux, Morin, Paradis, Pelletier, Pouliot, Prévost, Rivard, Surprenant, Tremblay, Trottier, Trudelle, Turgeon, etc.

Quant à Pierre Boucher, "Mr. Boucherville", il n'a que 12 ans lors du boom "Québec, Yes We Can". Il vit à Mortagne (ville jumelée avec Boucherville aujourd'hui) et quitte la France en 1635 avec ses parents, Gaspard, charpentier-menuisier et Nicole Lemère, son frère et ses trois sœurs. À son arrivée en Nouvelle-France, il est "recueilli" chez les Jésuites qui l'envoient chez les Hurons apprendre l'amérindien. Il aurait sauvé des méchants Iroquois, la ville de Trois-Rivières (où Mr.M a passé une grande partie de sa vie). Coincidence ? I think not !!! Et en 1661, c'est à lui que l'on devrait, après un lobbying serré auprès de Louis XIV, l'envoi du fameux régiment de Carignan, qui consolida la colonie. Parce qu'il avait été gentil, il reçut une terre sur la rive sud du St-Laurent, face à Montréal. Vous connaissez la suite. Pierre Boucher est mort en 1717 à 95 ans.

Mais attendez, c'est pas fini ! Regardez ce que j'ai déniché sur le site du Musée de l'Émigration française au Canada. "Le 31 mai 1891, un train spécial s'immobilise en gare de Tourouvre. Les autorités civiles et religieuses attendent sur le quai. Un voyageur illustre pose le pied sur le sol du Perche. Il se nomme Honoré Mercier*, c'est le Premier ministre du Québec et ministre de l'agriculture du Canada. Il est le descendant de Julien Mercier, émigrant parti de Tourouvre en 1650. Fleurs, arcs de triomphe et discours accueillent cet hôte de marque mais ce sont les Mercier restés à Tourouvre qu'il veut rencontrer : « Il y a bien longtemps qu'on ne s'est vu, leur dit-il d'un ton joyeux. Il y a 250 ans ! »". C'est drôle hein !

Après ce bref intermède historique, revenons aux choses sérieuses. Bref, on a déjeuné dans un petit resto de Mortagne-au-Perche, La vie en Rouge. Le gars qui tenait ça était un fonctionnaire en année sabbatique et devait décider en octobre s'il retournait à son boulot ou continuait son commerce d'épicerie fine, de saucissons, de fromages et surtout de vin. Pour lui le choix semblait clair, il resterait commerçant, il en avait marre de "rien faire", texto. On est ensuite allé visiter le Manoir de Courboyer, avec son potager, ses ânes et bien sûrs ses percherons (sur 4 jambes**). Une super belle journée sauf que de retour "au château" vers 17h, je n'ai pu m'empêcher de sombrer … jusqu'au lendemain matin pendant que mes comparses se goinfraient de ris de veau, d'agneau et abats en tous genres, le tout supportés par au moins 10 fromages et 2 bouteilles de vin, sans parler des desserts. Ma vie est triste quelquefois !

Bref, la grosse vie pour 2 jours et le retour, via les Beaux, pour récupérer Junior, question de donner un break à tout le monde ! Nous sommes aussi allés récupérer Céleste que nous avions laissé en pension avec tout plein d'amis chiens. Jude et Mr.M sont partis samedi et depuis je dors !

Aujourd'hui on reprend les choses en mains et on part en vacances chez les Beaux. Lecture et farniente en perspective. Nous ne reviendrons que la semaine prochaine pour affronter, encore une fois, PET-scan, IRM et compagnie.

Et zou !

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*Pour ceux qui ne le savent pas, j'ai fait mes 4ième et 5ième secondaires à la polyvalente Honoré-Mercier.

** Pour les chevaux, on ne parle pas de "pattes" mais bien de "jambes".

mardi 11 août 2009

La victoire de la femme contre la machine

Eureka ! Je me coucherai ce soir moins niaiseuse que je ne me suis levée. Pour mon anniversaire, Junior et moi sommes allés "downtown Parisse" récupérer mon cadeau pour mes 35 ans. Un système de son, avec 2 haut-parleurs, (80W par canal), 4 CDs et le plus important … une plogue pour le iPhone ! Yes !!! Et naturellement, j'ai tout installé moi-même with a little help from my friends.

Bon, je sais, j'écris plus aussi souvent qu'avant. Manque d'inspiration, trop de choses à faire, trop chaud, trop d'humide, trop occupée. Mais jamais parce que j'étais trop malade dedans mon corps. C'est une sacrée bonne nouvelle non ?

A part ça, j'ai l'impression que je n'ai plus grand-chose d'intéressant à conter, que je suis platte … de plus en plus bourrée d'angoisses face à mon futur. Avant, me semble que c'était facile (!!!), je n'avais pas le choix que de m'occuper du présent, mais maintenant que les gros méchants traitements sont finis, que j'ai le poil qui repousse lentement mais sûrement et que je ne vomis plus, j'ai recommencé à vivre plus ou moins normalement, c'est-à-dire en angoissant. C'est Dr.Freud qui me l'a dit : je ne suis pas capable d'être heureuse ! Aussitôt que tout va relativement bien, il faut que je me trouve quelques motifs d'angoisses … Il a probablement raison, après tout c'est sa job, mais j'vous jure que je ne le fais pas exprès. Bon, je fais une exception pour cette fois-ci et j'assume pleinement et entièrement ma bienêtressitude. Je vous raconterai mes problèmes une autre fois. On traversera la rivière quand on arrivera au pont, comme le disait mon papa.

J'ai enfin décidé d'aller me faire masser. Fabulous Fab et Mr.X. n'arrêtaient de me tanner depuis au mois 6 mois. J'y suis donc allée, de reculons. Et une fois rendue je me suis demandée pourquoi je n'étais pas venue plus tôt. La madame masseuse fait office dans une petite cabane en bois au fond de son jardin. Tu rentres là-dedans c'est comme dans une église. C'est sombre, y'a des statues partout pis ça sent l'encens. La seule différence c'est que l'autel est remplacé par une table de massage et il y a un peignoir dans un coin. La madame a commencé son massage par les pieds que j'avais préalablement trempés dans un bac d'eau aromatisé aux huiles essentiels en buvant un thé à la cannelle. Les jambes ont suivi. Le massage du dos fût assez bizarre. Je m'explique. J'ai une "bulle" d'intimité. Je défini ainsi l'espace minimum qui doit y avoir entre moi et une autre personne. Cet espace varie en fonction du niveau d'intimité que je partage avec les dites personnes bien entendu. En général l'épaisseur de la bulle est à peu près la même tout autour de mon "body", (mais là, j'ai la bulle hyper large dans le dos. Elle n'avait même pas besoin de me toucher, qu'à mettre ses mains à 10 cm de ma peau suffisait à me faire trembler de partout. J'imagine que c'est la dernière ligne de défense de ma colonne. Elle a besoin qu'on lui fiche la paix, elle a besoin de vacances.

Je me repose donc entre deux cures et je remonte, lentement mais sûrement.

Et, haut les cœurs !



dimanche 19 juillet 2009

Mon féminisme !!!

Je vous ai déjà raconté qu'il existait de grandes différences culturelles entre le Québec et la France. Je vous ai déjà conté comment, à mon arrivée, j'avais été surprise, mal à l'aise, fâchée (choquée en France) de l'image et du rôle des femmes en France. Leur féminisme n'est pas le même que celui du Québec avec lequel je me sens plus près de par mes idées, par mes actions et par mon "caractère" ! Je suis une fille très spontanée, très directe et très naïve. Je crois en l'humain.

Bon, je reviens aux femmes. On en voit moins aujourd'hui, ou peut-être ne les vois-je plus, mais me semble qu'il y a moins de filles toutes nues qu'avant dans les pubs. Par contre il y en a plus dans les bars, les revues "people". Il y a toujours moins de femmes dans les grosses jobs, et de loin, et nos salaires sont toujours 20 à 25% plus bas que celui des hommes. On se croirait au Québec de v'là 15 ans. Les filles en France se sont essoufflées j'ai l'impression.

Aujourd'hui, le débat porte sur les foulards et autres accessoires ostensibles religieux. Il y a un projet de loi en préparation qui interdirait le port de vêtement couvrant intégralement la tête et le reste du corps. Je trouve le débat intéressant, voire passionnant même si je ne voudrais pas être à la place du législateur parce que ce n'est pas une loi qui règlera tous les problèmes. Je suis contre les religions pour la simple raison qu'elles érigent une barrière de plus entre les gens. Il y a déjà beaucoup de raisons de se disputer sans ajouter celle-là : les races, le genre, les ressources financières, le statut social, les préférences pour la glace à la pistache plutôt qu'à la fraises. Voilà pourquoi je suis contre le port de tous signes ostensibles de religion, ils ne font qu'en rajouter une couche.

Mais en même temps, parce que j'accepte de mieux en mieux les différences (un des grands avantages de vieillir et murir), je me dois d'accepter que des gens croient en leur religion et font ce qu'ils doivent faire, c'est pas mes affaires. Mais la chose n'est plus si simple quand on mélange religion et féminisme. C'est beaucoup plus difficile à gérer. Est-ce qu'une femme, libre, éduquée, éclairée, peut volontairement adhérer aux préceptes d'une religion qui, selon moi, semble restreindre sa liberté ?

Le Québec des mes arrières arrières grands-parents était bien différent de celui de mes grands-parents, lui-même très différent du mien. Du temps des vieux vieux, c'était les curés qui faisaient la loi, surtout dans les petits villages où les gens sont plus faciles à contrôler pour bien des raisons mais surtout pas parce qu'ils sont moins intelligents. Ils étaient simplement loin. Les familles étaient nombreuses parce qu'il ne faillait surtout pas "empêcher la famille". Mais malgré ça, c'était bien souvent les femmes qui menaient dans la maison. Puis les femmes se sont mises à moins croire, à avoir moins d'enfants et à travailler. Elles sont presque devenues égales aux hommes. Peut-être parce que j'ai été étudiante très longtemps, mais je n'ai pas trop porté attention à ma tenue vestimentaire. Je devais me sentir bien et quelques fois belle mais toujours à l'aise, vous l'aurez donc compris, j'ai porté des talons hauts mais jamais aiguille.

De ce côté-ci de l'Atlantique, j'ai l'impression que le féminisme est beaucoup plus intellectuel qu'opérationnel, comme beaucoup de choses en France. Simone de Beauvoir en est la preuve, trop dépendante de Sartre à mon goût. Et aujourd'hui, les femmes sont encore dépendantes de leurs enfants, leur employeur, leur mari, la société. Mais bien sûr Mesdames, n'oublions pas quels sont les atouts des VRAIES femmes !!!

Tout ça pour vous dire que je ne sais pas quoi penser des voiles, des perruques et autres signes ostensibles des femmes religieuses. C'est certain que cela me dérange quand j'en vois une, surtout quand c'est le voile intégral, mais je m'habitue tranquillement. Qui suis-je pour dire aux autres quoi faire ? "La liberté des uns s'arrêtent là où commence celle des autres".A lire, un article d'une journaliste qui a passé une journée voilée … Il faut lire les commentaires.

http://www.rue89.com/2009/07/19/paris-sous-le-niqab-jai-passe-une-journee-en-voile-integral

Et zou !

jeudi 16 juillet 2009

Le Canada, la République Tchèque et la Pologne

Ce matin, en lisant la Cyberpresse d'hier, j'ai appris que le Canada obligeait maintenant les Tchèques à avoir un visa pour visiter notre accueillant pays. La Tchéquie fait partie de l'Union Européenne depuis le 1ier mai 2004, tout comme la Pologne. Mais pourquoi nous raconte-t-elle ça me demandez-vous ? Si, si, j'entends vos voix …

Et bien, juste avant le 1ier mai 2004, j'ai dû me rendre à Varsovie pour une réunion. Dans ce temps là je n'étais que Canadienne, j'avais pas encore demandé ma nationalité française, trop de paperasse. Or, à cette époque, les Polonais pour entrer au Canada devaient montrer patte blanche et visa. Vous devinez évidemment la suite. La réciproque était aussi vraie, mais moi, je ne savais pas, ni mon assistante, ni la madame qui s'occupait des voyages au bureau. J'arrive donc à Varsovie, brandissant mon sésame bleu canadien au monsieur dans la cabane avec mon plus beau sourire. Lui, ne souriant pas du tout, me répond d'une voix sèche : "VISA ?". Et là, panique. Je n'ai pas de visa puisque je voyage avec des Français, qui eux n'en sont point pourvus, et qui sont déjà en territoire Polonais, recherchant probablement un coin où fumer une clope, et ayant autre chose à faire que de m'attendre. Je suis donc seule, en face d'un monsieur très très sérieux qui décide de m'envoyer sous bonne escorte, deux militaires armés de Kalachnikovs, dans une petite pièce sans fenêtre, sans chaise, sans table, sans rien. La chienne de ma vie j'vous l'jure.

J'étais là dans le bocal, toujours gardée par les deux militaires mitrailleurs, me fixant et ne parlant que polonais bien sûr. Au bout des 30 minutes les plus longues de ma vie, surtout que j'avais vraiment envie de pisser, on vient me chercher. Je comprends rien, j'ai peur, et toujours envie de pipi. Je fini par comprendre qu'on me ramenait directement à l'avion, sans passer par la case toilette. Ce fut le plus court séjour de toute ma vie en terre étrangère.

Au retour, dans le même avion avec le même personnel de bord qu'à aller, j'ai pas arrêté de pleurer. Les hôtesses et stewards d'Air France ont été super gentils, me fournissant kleenex et alcool à volonté. Oui, OK, j'ai eu peur, mais LE pire, oubliez pas que je vais chez les psy depuis presque 20 ans, fut un sentiment de rejet. Non, mais ! Qu'est-ce que je leur avais fait aux Polonais pour qu'ils ne m'aiment pas ? J'adore le Bortsch, les Pierogis à la viande ou au chou, et tous les types de kielbasa que j'ai goûté.

Ce n'est que par la suite que j'ai découvert que c'était rien de personnel, ouf ! C'était contre le Canada qu'ils en avaient les Polonais et pas contre moi. Ben oui, parce que dans ce temps-là, pour entrer au Canada, les Polonais devaient avoir un visa. Ce n'est qu'un juste retour des choses que les Canadiens doivent aussi en avoir un. Et toc.

Et maintenant, le Canada impose un visa à aux ressortissants Tchèques, un pays membre de l'Union Européenne et de l'espace Schengen.

Attention les gars, parce bientôt les Canadiens auront peut-être besoin d'un visa pour l'Union Européenne, qui comporte tout de même 27 pays. Ça va faire beaucoup de paperasse et de pépettes, surtout avec le taux de change de l'euro. Mais moi je m'en fous, je suis aussi Française. Na !

Et zou !

mardi 14 juillet 2009

Vive l'informatique !

Je viens de terminer un bouquin écrit en 1993. C'était un roman policier. C'était le "début" des ordinateurs personnels et portables, des modems, de l'internet, l'auteur prenant bien soin d'expliquer comment tout ça marchait. Et aujourd'hui, j'écris mon journal perso sur un blogue et je suis traitée avec des médicaments qui n'existaient pas quand ce livre a été écrit …

On vit vraiment à une époque formidable !!!

La vidéo suivante est dédiée à vous tous, surtout Mr.X., Junior, ma Sister et les Beaux qui m'endurent malgré mes maux …


Et zou !